CIL Monplaisir

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LE CRISTAL PALACE
L’édifice du Cristal Palace, situé  au 104 avenue des frères Lumière, anciennement grande rue de Monplaisir, fut construit à la demande de Louis Bouvard qui obtint de la mairie l’autorisation de la construction le 19 mai 1923. Ce bâtiment était constitué, au sous-sol d’une salle de boxe ; au rez-de-chaussée d’une salle de cinéma (entre 500 et 700 places) et au 1er étage d’une salle de réunion pour les sociétés. Sur le fronton cintré on remarque encore aujourd’hui l’enseigne « Cristal Palace ».
Ce sont les architectes Ruff et Olivier, installés alors au 351, rue Paul Bert qui ont travaillé sur ce projet avec, également, la contribution de Léon Curny, notamment pour l’élaboration des plans.

[vc_row][vc_column width="1/2" css=".vc_custom_1749229687830{margin-right: 5px !important;margin-left: 5px !important;}"][vc_column_text css=".vc_custom_1749229411502{background-color: #ffffff !important;}"]Le lotissement de la propriété d’Henry des Tournelles en 1828, favorise l’essor de Monplaisir. Les habitants doivent se rendre jusqu’à  l’église Notre-Dame de la Guillotière pour accomplir leurs devoirs religieux. Un groupe de catholiques demande la création d’une église. L’autorisation est donnée en 1839. L’église Saint Maurice résulte alors de trois campagnes de constructions successives. -         En 1842, lors de la création de la paroisse, une nef unique fut ouverte au culte, construite par l’architecte F. Pascalon. C’est une église modeste : la nef éclairée par trois fenêtres de chaque côté mesure 9,50 m de large sur environ 27 m de long, cette nef étant complétée par un chœur aveugle de forme carrée. -         En 1857, l’architecte Christophe Crepet agrémente la façade ouest d’un portail à pilastres et  de deux niches de part et d’autre et dote l’ensemble d’un clocher

LUNETTE DES HIRONDELLES En arrivant à Monplaisir par la grande rue de la Guillotière, vous passez devant « la Lunette des Hirondelles » ! La plaque est située à l’angle de l’avenue des Frères Lumière et de la rue Rollet. Pourquoi cette plaque ? Son intérêt : garder en mémoire l’histoire de Lyon, ce qui est important aujourd’hui où de nombreux témoignages du passé ont été gommés du paysage ! Vers 1830, sous les ordres du général Fleury, Lyon s’est doté d’une ceinture de forts pour se protéger d’ennemis venant de l’est !! Pour ce qui nous concerne une série d’ouvrages protégeaient les nouveaux quartiers de la Guillotière, la ville s’agrandissant de ce coté là : fort de La Motte (Sergent Blandan) et fort de Villeurbanne (Montluc) entre autres. Dans l’alignement de ces forts existaient de petits ouvrages d’architecture militaire : redoute de forme carrée, et lunette de forme triangulaire. La lunette des

LA PISCINE DE MONPLAISIR

A l’occasion de la fermeture de la piscine de Monplaisir, penchons-nous sur les origines de cette piscine et sur l’histoire des lieux.

La piscine est située au 19 avenue des Frères Lumière (ex grande rue de Monplaisir), derrière un haut mur, dans une ancienne propriété bourgeoise du XIXème siècle.

Avant d’être occupée par la MJC, cette maison appartenait à Monsieur Pierre Neyron de Champollon.

Gone du 8ème

Geneviève Colas

Administratrice de la MJC Monplaisir, membre du Bureau du CIL Monplaisir

Parlez-nous de vous

Je suis une enfant de Monplaisir. Je suis née Vallet, rue des Tuiliers. Mon père était né au 17 rue Bataille. Alors que j’avais 6 mois, mes parents ont déménagé rue Saint-Maurice. J’habite avenue des Frères Lumière depuis juin 1960. Je suis veuve d’un médecin généraliste, qui était un vrai médecin de famille dans le quartier, Yves Colas, décédé d’un cancer à 49 ans en 1978. Je suis d’ailleurs administratrice au sein de la Caisse Autonome de Retraite des Médecins de France où je représente les 20.000 veuves de médecins libéraux, ce qui m’amène à Paris au moins une fois par mois.

cil-chateau des tournelles - Monplaisir Lyon 8Origine de Monplaisir

Monplaisir….. C’est le joli nom de notre quartier. En connaissez-vous l’origine ?
Il était une fois un vieux château, le château des Tournelles.

Aux XVIIème et XVIIIème siècles, les Jésuites en avaient fait leur maison de campagne. Il se dressait à l’angle des rues de la Promenade et des Tournelles, (aujourd’hui rue Edouard Rochet et rue Paul Sisley), c’est-à-dire sur le cours Albert Thomas actuel, en face de l’hôtel Mercure.